عين دراهم
Aïn Draham est à l'origine une base militaire française[8], le troisième choix des troupes[9] après Fernana et Mzaret Essardouk, puis un village de services pour les colons (enseignement, commerce, exploitation forestière, etc.). En 1892, elle figure parmi les premières municipalités mises en place en Tunisie.

En 1930, elle devient une station touristique polyvalente[10] destinée à retenir les colons français (pensions de famille, résidences, tourisme administratif, etc.). La situation forestière de la ville et son patrimoine colonial (architecture, tuiles rouges et artisanat) lui offre des atouts pour le tourisme intérieur : un confort thermique estival, une richesse giboyeuse, notamment en sangliers, des sentiers de randonnée pédestre, équestres ou en VTT, le tourisme vert et sportif et le thermalisme.
À partir de 1982[11], et à la suite d'un choix purement politique, la ville fait partie d'un projet de tourisme de masse reliant la forêt (Aïn Draham et le col des Ruines) et la mer (station intégrée de Tabarka).

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